Fière cité, patrie de Jacques Cartier, découvreur du Québec
et du Saint-Laurent ; Dugay-Trouin et Surcouf, fameux corsaires aux ordres
du Roi ; Chateaubriand, le grand écrivain romantique.
Ville où Anne de Bretagne fit ériger la tour
Quic-en-Groigne, dont le nom rappelle sa réplique aux malouins
mécontents :’’Qui qu’en groigne, ainsi sera, car tel est mon bon plaisir’’
Ville enfin qui au début du 17ème , se déclara
pendant 4 ans république indépendante, avec pour devise :’’Ni français, ni
Breton : Malouin suis.’’
A l’intérieur des remparts, le château et la tour
Quic-en-Groigne, la maison dite d’Anne de Bretagne, et les maisons malouines en granit, pour
beaucoup reconstruite à l’identique après la destruction quasi complète de la
ville en 1944

Et aussi, l’incontournable crêpe aux pommes flambée au
calvados !
Au pied des remparts, les plages, l’ilot du grand Bé
(tombeau de Chateaubriand), et la mouette pas farouche qui guette nos
miettes ?
Sur le Port, surprise : nous tombons sur le trois-mâts
‘’La Boudeuse’’,
dont nous aidons chaque année (épaulés par le Fisc) les explorations scientifiques à la
rencontre des peuples de l’eau.
Au Sud de Saint-Malo, le jolis parc de la Briantais et la jolie
vue sur St-Servan et le tour Solidor
La soirée se termine à Paramé, au Festival Folklore du
Monde, avec d'abord un groupe traditionnel Grec
et surtout une troupe
venue de l’Altaï (Sibérie), aux costumes richement brodés et aux
chorégraphies acrobatiques et bien
rodées, reprenant thèmes et postures de l’imaginaire russe
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire