Notre route de retour vers la France passe à proximité de
Pubol, village catalan où Salvador Dali
racheta le château des barons pour l’offrir à son épouse Gala
Dali s’est chargé lui-même de l’aménagement intérieur du
château, : Peintures, Tapisseries,
Blasons et autres objets, tous dans la veine surréaliste qui fut sa marque
Les miroirs eux-mêmes ne renvoient-ils pas les images
d’étranges personnages échappés de la toile ?
La salle de bains dont les robinets en or nous évoquent les rêves des femmes du 6ème étage ?
La table en verre repose sur une ouverture vers l’étage
inférieur qui apporte sa lumière
De Gala restent ses robes haute couture, de Salvador une
oeuvre issue de cet endroit dont il fit son atelier
Dans le jardin, la fontaine où les têtes de Wagner se reflètent à l’infini
Et les éléphants-fontaines dont les pattes d’insectes leur
permettraient l’envol ?
Nous quittons cet univers pour regagner la France et
reprendre une activité normale.
Et si Dali avait certifié que la Gare de Perpignan était le centre du monde,
nous avons, pour notre part, traversé le centre de Perpignan bloqué comme une gare pleine de
monde, dans un embouteillage surréaliste et monstrueux !
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