En quittant Arhus, une si belle boite à lettre danoise !
Quelques kilomètres avant d’arriver à Faaborg, le panneau d’info
d’une aire de repos nous permet de repérer le golf le +proche parmi tous ceux
de l’ile de FYN
Une fois installés, bien à plat, au camping de Faaborg, une
visite à Faaborg, dont les belles maisons anciennes font le charme.
à 18h, toutes les boutiques sont fermées (depuis au moins
une heure !), les rues sont vides, les danois sont à table !
A la boulangerie (Bageri), une étagère dispose à la vente
quelques pains, à nous de mettre l’appoint dans la caisse en libre service !
(le Danois est honnête !)
Pour le lendemain, nous avions envisagé une sortie à l’île
dAEro, île authentique dont les maisons fleuries, peintes de couleurs vives,
datant du 17ème siècle , en font un joyau.
Mais les horaires du Ferry (aller à 10h40, retour à 14h45,
une heure de trajet), et ses tarifs (835 dkk=120€ pour la voiture et 2
personnes) nous font réfléchir !
Le golf est à 2 kms, le green-fee 18 trous à 40€, c’est là
qu’on va !
On nous avait prévenu du relief vallonné, c’est vrai ! En haut du parcours, belles vues sur la
campagne et la Baltique à 5kms, mais les mollets ne disent pas TAK (Merci !)
Au trou n°3, une charrette propose des lots de 4 balles (de
20 à 40dkk), avec un bocal pour payer, à destination des malheureux qui en ont
déjà égaré trop !?
Et sur chaque drapeau, un relève-pitch pour les étourdis !
Le jour suivant, Visite ODENSE, (186.000 habitants, 3ème
ville du Danemark ). C’est la ville natale de Hans Christian Andersen, et le
quartier qui le vit naitre, en 1805, est admirablement conservé.
Début de la visite à la Brandts Klaedefabrik, ancienne
manufacture de textiles, dont les cours intérieurs abritent aujourd’hui cafés,
galeries, sculptures et librairies, où nous trouvons (enfin !) une carte
routière détaillée du Danemark
Le temps se couvre pendant que nous marchons jusqu’au Quartier
Andersen, dont les rues pavées, bordées de petites maisons basses, certaines à
colombage, datant du 18 et 19ème siècle, nous donnent une impression
nostalgique d’un décor oublié là !
Le temps se gâte définitivement, et c’est sous une pluie
battante, que nous rejoignons le parking derrière la Poste, avec une admiration
particulière pour les nombreux autochtones bravant courageusement, sur leur
bicyclette, les intempéries !
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