à pied depuis Franz Joseph Bahn, nous passons devant l'ambassade des États Unis, protégée des intrusions comme une forteresse de Game of Thrones !
dans le 9ème, le Strudlhofstiege, escalier rendu célèbre par le roman d'Heimito von Doderer.
Cette splendide pharmacie a gardé l'ameublement de cette période !
à l'entrée de Wienzeile, le pavillon de la Sécession fut élevé en 1898 pour les expositions d'art contemporain (de l'époque), et est dominée par une sphère de 3000 feuilles de laurier dorées.
au-dessus du portail d'entrée, en lettres d'or : ''à chaque époque son art, à chaque art sa liberté''
sur Linke Wienzeile (trottoir gauche en remontant vers Vienne), plisieurs constructions Jugenstil :
au n°38, la maison médaillon aux ornements dorés.
Jointive, au n°38, la maison des Majoliques à la façade envahie de motifs floraux en faïences
sur le terre-plein central de WienZeile s'étend le vaste marché de Naschmarkt, ponctué d'échoppes, et de nombreux restaurants de toutes les cuisines du monde !
en retournant vers Karlplatz, l'église Saint Charles associe 2 colonnes trajanes, un frnton romain, et un dôme baroque, le tout imaginé, dit-on, par Johann von Erlach , du haut de la colline romaine du Pincio !
l'ambassade de France, dans ce bel immeuble vers la Wienzeile
par métro et tram, vers le quartier de Landstrasse, sur Kegelgasse, la maison Hundertwassehaus, aux planchers irréguliers, construite par la municipalité en 1986, inspirée des oeuvres de Rodia, de Gaudi , de jardins ouvriers et de livres de contes, comporte 52 logements, 16 terrasses et 253 arbres.
en bas de l'immeuble, une affiche rappelle d'autres réalisations originales.....
dont ce bâtiment que nous voyons tous les jours, à Spittelau, du train qui nous mène à Vienne :
c'est l'incinérateur municipal !
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