samedi 5 mai 2012

CADIX, la belle, a des yeux de velours

Cadix , cernée par l’Océan, et rattachée au continent par un étroit banc de sable, doit son expansion au commerce transatlantique, au 17ème et surtout au 18ème siècle, lorsqu’elle devint le principal port de commerce avec l’Amérique.
En témoignent de nombreuses maisons bourgeoises, de riches églises, etc…
Mais les bords de mer sont également agrémentés de magnifiques jardins sévillans, bien ordonnés autour de fontaines, de bancs en céramique, et garnis d’arbres exotiques aux dimensions imposantes : La ballade dans la vieille ville permet d’en voir ces deux aspects.


 
Dans le jardin Sévillan de l’Alameda de Apocada, le Ficus rapporté d’Amérique par les sœurs franciscaines


 
Sur la Plaza de San Antonio, le Casino de Cadix et son impressionnant patio néo-mudejar (imitation moderne de la décoration arabe des 12ème au 15ème siècle)





La tour Tavira, une des 160 tours érigées au 18ème siècle par des marchands pour surveiller l’arrivée de leurs bateaux

 Dans l’église à la coupole ovale de San Felipe Neri, une Vierge habillée

La cathédrale, à l’architecture complexe de tours et de coupoles, et un Christ captif en céramique, mais richement vêtu !


 
Notre promenade se termine sur les quais, à la Casa de la Cadenas (maison des chaines) et devant les fontaines de la rue Cristobal Colon, qui embarqua le 3 Aout 1492 à quelques kms de là, et découvrit le12 Octobre l’Amérique !
lui aussi était parti à l'aventure pour plusieurs mois, et en plus, il n'avait ni carte, ni l'adresse des campings !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire