mercredi 2 mai 2012

TANGER ville Internationale et Marocaine

Depuis Tarifa, TANGER et la côte marocaine ne sont qu’à 13 kms, c’est le moment où jamais de franchir lr détroit de Gibraltar pour aller y mettre les pieds.
Le Ferry nous y amène en 30 minutes (+ 30 autres minutes de contrôles de police !), et partis à 11h00, nous arrivons à 11h00 (l’heure locale est GMT+1 contre GMT+2 en Europe continentale)

 
Un Bus nous attend sur le quai, et nous fait faire un tour de la ville moderne, et des quartiers internationaux, car TANGER avait le statut de ville internationale depuis 1923 jusqu’à  l’indépendance en 1956.
Un arrêt chameau, pour promener les enfants et photographier les grands (attention : les chameaux sont ceux du milieu, et ils n’ont que 2 mois !)
 
Nous admirons en passant la résidence d’été du roi, sévèrement gardée
 
Puis nous attaquons à pied cette fois, avec notre guide ‘Hicham’ (clin d’œil !), la visite de la Casbah  (forteresse) et de la Medina (vieille ville) par la Porte (Bab) du même nom
 
La vieille Mosquée, l’ancien Tribunal, ont un peu souffert des outrages du temps

 
Des charmeurs de serpents tentent, sans beaucoup d’efforts, de charmer les touristes, dans l’espoir de leur soutirer quelques Euros !
 
Puis dans la Medina, ruelles et maisons blanches telles qu’en Andalousie, mais la boite à lettres trahit la présence française pas si lointaine !
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Enfin,  nous sommes accueillis dans le restaurant Hammadi, beau comme un palais, musiciens et Couscous !

 
Nous repartons dans la Medina, toujours à la suite de notre guide, avec traversée des souks et multiples arrêts ; devant les échoppes des couturiers (que des hommes) brodant à la main des djellabas, et dans des boutiques exposant (et surtout vendant !)  tapis (très beaux),  poteries, bijoux,…il faut résister aux arguments des –nombreux- vendeurs : pas cher, trrrès joli, cadeau pour toi,…
Nous craquons dans une ‘’Pharmacie Berbère’’ pour des sacs d’épices et des huiles d’argan !


 
Redescendant vers le Port, un arrêt à l’hôtel Intercontinental et ses salons, splendeur de l’entre-deux guerres,  où l’on s’attendrait presque à rencontrer Humphrey Bogart prononçant la fameuse réplique :’’Play it again, Sam !’’  

 
Enfin, retour sur les quais pour reprendre le bateau, et regagner l’Europe de Schengen, après cette journée ‘’africaine’’, aussi étonnante qu’inattendue

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